20:00 Gamut Plays Tobias Meier (CH)
Silvan Schmid (tp), Tapiwa Svosve (as), Tobias Pfister (ts), Philipp Eden (p), Vojko Huter (g), Xaver Rüegg (b), Paul Amereller (dr), Tobias Meier (comp)
Gamut, ce sont tous les sons à la fois, ou toutes les couleurs à la fois, ou un lieu dans les Philippines où il fait 28 degrés. Ou encore la somme de toutes les têtes les plus affinées de la scène jazz zurichoise. Et jeune n’est pas ici un mot vide de sens. Le collectif Gamut s’est créé en 2016 et fait parler delui de façon endémique depuis. A l’invitation de Jazzwerkstatt, il a sorti de son chapeau un nouveau répertoire. Berne a donc le grand honneur d’accueillir la première d’une musique signée Tobias Meier et interprétée par le collectif Gamut de Zurich.
21:15 William Parker Large Ensemble (USA, DK, SE, D, CH, IT, ZA)
Nils Berg (reeds), Keefe Jackson (reeds), Virginia Genta (ts), Mette Rasmussen (as), Nicolas Habegger (tp), Lukas Thoeni (tp), Lukas Frei (tp), Mandla Mlangeni (tp), Josephine Nagorsnik (tb), Julia Rüffert (tb), Andreas Tschopp (tb), Marc Unternährer (tuba), David Vanzan (dr), Kesivan Naidoo (dr), William Parker (bass/comp)
William Parker n’est pas seulement un des bassistes les plus importants de la scène free internationale, il est aussi depuis toujours un compositeur, auteur et pédagogue hors pair. Son univers musical comprend des compositions pour opéras, films, ballets, petites formations, instrument solo et grandes formations. Pour son deuxième passage sur la scène du Jazzwerkstatt, le festival a réuni un All Star Band, que le compositeur et band leader va diriger.
22:30 Nils Berg Cinemascope (SE)
Nils Berg (woodwinds/video), Josef Kallerdahl (b), Christopher Cantillo (dr)
A chaque morceau un nouveau groupe. Nils Berg, „le Fellini du jazz suédois“, et son groupe Cinemascope invitent successivement une flûtiste japonaise timide, quelques ados rieurs de Brunei et des bergers afghans sur la scène. Avec l’aide de Youtube et de quelques projecteurs… Le tout d’une façon si sensible, si attentive aux moindres détails que les frontières entre orchestre, invités virtuels, salle de concert et le reste du monde disparaissent.